Samuel Alves habite Walcourt et est titulaire d’un diplôme d’ingénieur civil électromécanicien, obtenu à l’université catholique de Louvain (UCL) en 2012. A la suite de mon diplôme, il a été engagé au CERISIC (centre de recherche en électronique de puissance) pour un projet de recherche sous un contrat de 2 ans. Ce projet était supporté par Thales Alenia Space Belgium à Charleroi, qui est depuis lors (2014) son employeur à temps plein.
Projet
Son projet a pour but l’augmentation du confort de vie des particuliers, par la mise en place d’une solution « domotique » intelligente et sur-mesure, visant plutôt un public large (tout propriétaire de bâtiment : maison, hôtel, appartement, …).
L’optimisation « au juste besoin » des consommations énergétiques des particuliers étant une conséquence directe de ce volet. (On peut par exemple penser au chauffage adaptatif, au suivi « en temps réel » de ses consommations énergétiques en mazout, électricité, eau, gaz, ou encore à la mise en place de scénarios de gestion intelligents de l’éclairage par exemple).
Concrètement, il s’agit donc de dispositifs matériels à installer dans un bâtiment, l’installation de ceux-ci (en tant que service) ainsi que leur programmation afin qu’ils répondent au besoin des utilisateurs.
Le projet a également pour but de permettre un suivi des installations industrielles critiques (p. ex. chaudières industrielles, groupes de génération de froid, …), et par extension, pouvoir en assurer une maintenance prédictive sur base d’un réseau de capteurs connectés (et interconnectés). Dans ce volet également, l’impact environnemental et « économie d’énergie » sera indéniable.
Concrètement, il s’agit de proposer des dispositifs matériels, l’installation de ceux-ci (en tant que service) ainsi que le support à l’exploitation de leurs données.
Le projet est accompagné par Charleroi Entreprendre.
Pour ces deux activités, Samuel prend un statut d’indépendant complémentaire.
Soutien de la Fondation
Obtention de la Bourse d’Encouragement à l’Entrepreneuriat en Ruralité (B.E.E.R.) d’un montant de 9.500 €. La bourse va contribuer à la prise en charge de frais de formation, de test et prototypage, d’acquisition d’équipements et de communication..